Description d'un disque titre par titre, pouvant aussi bien traiter des morceaux en eux-mêmes, que de leur phase de composition, d'enregistrement et/ou de différentes anecdotes à leur propos... ULTRA ZOOK - Epuzz
	Date de sortie : 28 Mars 2013 Label/Distributeur : Gnougn Records/Human Feather Site Web : www.facebook.com/ultrazook >>> Chronique du disque
Titre : " Epuzz " Tracklist : " Yapati Yupata " : Nous avons composé ce titre pour attaquer le marché japonais, dans l'espoir de se faire pas mal de pognon. Malheureusement, nous avons découvert que" YAPATI YUPATA " signifiait " j'aime l'amour sur ton compost " en japonais, le disque était déjà sorti et il était trop tard pour faire machine arrière. " Mozambiouc " : Nous avons composé ce titre pour attaquer le marché mozambicain, mais le label nous a clairement fait comprendre qu'il était saturé là-bas, le disque était déjà sorti et il était trop tard pour faire machine arrière. " Pisote ! " : On avait écrit ce morceau pour Daniel Balavoine, mais malheureusement on nous a appris qu'il ne sortait plus de disques. La direction artistique nous a alors imposé un saxophoniste pour le remplacer. On voulait l'enlever sur la version finale mais le disque était déjà sorti et il était trop tard pour faire machine arrière. " Tiramisu " : Pour ce morceau, c'est un peu particulier, il a été écrit en fait par BARBEROS, un groupe de folk anglais, comme ils venaient juste de l'écrire, on s'est dépêché de le déposer à la SACEM et de l'enregistrer avant eux, comme ça personne peut rien nous reprocher. On les a bien niqués, mais la petite déception, c'est que le morceau n'est pas terrible. " Aluminium C4 " : Depuis le début, on nous dit qu'on manque de crédibilité, alors pour inverser cette tendance un peu désagréable, on a décidé de faire un morceau de métal. Les métalleux sont en général pris plus au sérieux. Le truc ennuyeux, c'est que quand on essaie de chanter super grave, on a des quintes de toux, alors comme le saxophoniste était encore là on lui a demandé de faire des trucs à la place, et cette fois-ci on assume dur comme fer.