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de jeu, je signalerai une mention spéciale à l’artwork
que je trouve très beau, genre biomécanique moderne, soit
un Terminator programmé pour nous fendre d’une toile néo-impressionniste
moderne. Ensuite, dès le disque inséré dans le grille-pain, c’est MUNKYPOSSE qui te met une dérouillé, comme si le Terminator (toujours lui…) te mettais une fessé cul nu devant une assistance remplie et hilare. Dès les premières notes de " Hypodermic ", c’est une bonne grosse calotte de brutal Hardcore qui t’attend. Je vous passe le second titre et sa grosse mosh part de cochon, ou encore " Modern Asylum " et son agressivité quasi-physique avec blasts-beats servis sur un plateau repas: c’est Aimé Jacquet qui sera content: " tu vois… ça ne coûte pas plus cher de se faire déchirer la gueule… ". Le posse étonne par son agressivité et sa fureur (je vous épargne même le chant ultra braillard quasi screamo, digne de la femelle Grizzli mal baisé depuis sept mois…). Il faut le dire, à côté de la démonstration de MUNKYPOSSE, les NOTHING TO PROVE passent pour des clowns pleurnichards sous prozac. Leur chaotic Hardcore est sympatoche, mais peine malheureusement à rivaliser avec leur adversaire de disque. Il y a non seulement une approche plus sombre, une production différente (plus introspective pour NOTHING…) et un côté plus émotionnel pour les 3 derniers titres. Au final, voici un bon split comme on les aime, riche et dense au niveau lobotomie du cerveau, avec deux combos à l’approche du HxC radicalement différente. Je donne cependant MUNKYPOSSE vainqueur sur ce split, la suite au prochain round… (Chronique réalisée par Punk Sportif de la Pepper-Zone) Date de sortie: Juillet 2005 Label/Distributeur: Customcore Records Site Web: www.munkyposse.net |
 MUNKYPOSSE: 1. Hypodermic 2. The Kinetic of Decadence 3. Modern Asylum NOTHING TO PROVE: 4. Tension 5. Arena 6. Physical Modelisation |
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