MES SOULIERS SONT ROUGES - Ce qui nous lie: Septième album pour MES SOULIERS SONT ROUGES, qui en 25 ans est pourtant loin d'avoir fait le tour du patrimoine musical mondial. Ce qui peut d'ailleurs coller au titre " Ce qui nous lie ", tant tout cet art retrace l'histoire et lie à la fois celle de chaque personne. Cela sied également à la relation entre le public et ce groupe, comme le prouve le financement participatif grâce auquel ce disque peut voir le jour. Le moins que l'on puisse affirmer est que MES SOULIERS SONT ROUGES possède un ticket de transport sans aucune limite. Tant au niveau kilométrique, que temporel. On navigue ainsi d'ambiances celtiques évidentes, à d'autres nord-américaines lointaines, que l'on ne connaissait pas forcément. On y découvre une majorité de pistes plutôt remuantes, pour ne pas dire dansantes. Le ton est généralement festif et il s'avère compliqué de ne pas se lever sur chaque morceau du genre. Certains plus enlevés que d'autres, nous projettent même des images de rassemblement au sein d'un troquet des années 30. Où la musique nous emporte, comme sait si bien le retranscrire MSSR. L'on aura également droit à des titres où les instruments prennent la prédominante place, pour des musiques toutes plus endiablées les unes que les autres. Enfin, l'on n'aura pas à faire claquer nos souliers sur le plancher en bois tout au long du CD. Néanmoins cela sera généralement le cas. Et pas mal de chansons possédant des refrains accrocheurs, on se laisse d'autant plus porter, tout en les scandant en même temps que le combo. MES SOULIERS SONT ROUGES nous propose ainsi avec " Ce qui nous lie ", une véritable connexion entre la sauvegarde culturelle et le plaisir musical. (Chronique réalisée par Blytch) Date de sortie: 29 Mars 2019 Label/Distributeur: Antal Productions Site Web: www.facebook.com/mesoulierssontrouges/ |
1. Non que j'aime donc 2. La barbière 3. Les prunes 4. Cotillons 5. La mer farouche 6. Poil de chameau 7. Jig & Reel 8. Il en est temps ma mère 9. Kansas 10. Le curé d'Argentan 11. Fille d'honneur 12. Le bout du banc II |