Rendez-vous à la Loco pour rencontrer les S-CORE, les balances pour eux se terminent et enchaîneront sur quelques petites choses a régler avant d’être à moi.
Présentation d’un groupe qui monte et qui n’a pas fini de faire parler de lui. Réalisée par A2 Peux-tu nous présenter le groupe ? Le groupe S-CORE s’est formé sur les cendres de plusieurs groupes strasbourgeois, donc dans un premier, il y avait le chanteur de moi-même à la guitare, NO WAY OUT où était notre premier batteur et notre actuel bassiste et un dernier où était Thomas à la guitare et Mathieu à la batterie. On s’est formé en 98. Qu’avez-vous fait avant l’album ? On a juste fait une petite démo auto produite localement sortie sur Strasbourg. Quelles sont vos influences principales ? Elles se situent dans la scène Power métal milieu 90 avec des groupes comme PANTERA, SLAYER, MACHINE HEAD… Mais aussi des trucs plus heavy du style CROWBAR… Tu peux nous parler de l’enregistrement de l’album ? Nous sommes allés chez notre confrère Stéphane Buriez qui n’est plus à présenter. On savait qu’on avait déjà un plan pour la distribution du cd donc ça nous a décidé à faire quelque chose de conséquent. On a regardé ce que les gens faisaient actuellement et Stéphane, c’est le gars qui correspondait le mieux au type de personne avec lesquels on avait envie de travailler. Niveau du studio, on est resté trois semaines à Lille. Niveau accueil média et public, comment ça se passe ? Dans l’immédiat ça se passe plutôt bien. On se positionne comme DAGOBA même s’il y a beaucoup de choses différentes dans la musique. Pour l’instant les webzines, les émissions de radios plus locales ou encore des mags comme Hard’N’Heavy nous soutiennent, et c’est bien cool. L’accueil public sur la précédentes date (avec DAGOBA, SLITHERYN et KILL TO THIS) ? A Montluçon, le même plateau que ce soir nous, j’avoues qu’on est un peu dans une position d’outsider dans le sens où on est les derniers venus, KILL TO THIS ils ont plus rien à prouver, DAGOBA ils sont en pleine montée et SLITHERYN sont attendus parce qu’ils viennent de loin. Mais les gens ont eu l’air d’apprécier le concert donc ça le fait. Et DIRTY 8 ça roule apparemment ? C’est un peu nos couleurs à défendre. Collectif strasbourgeois qui est à la base composé de deux groupes S-CORE et HOUSEBOUND, dont Julien (qui manage S-CORE sur la tournée) est guitariste. C’est parti de l’idée commune de ne pas attendre que les gens viennent nous servir, on a donc crée l’asso pour s’auto-produire et pouvoir proposer quelque chose d’évolutif. DYRTY 8 ça n’est pas que des groupes de métal, c’est aussi une bande de personnes qui ont eu envie de travailler ensemble. Y a des gens qui font de la techno, y’a des gens qui font du sons et d’autres des lumières… c’est ouvert… on remercie Julien. Et le coté collectif de la chose est vraiment sympa. Je ne vais pas trop te retenir donc on va finir par des questions un peu moins professionnelles ! Tu pars sur une île déserte, quelles sont les 3 choses que tu prends ? Je prends une guitare, ma copine et un fût de bière. Il tourne quoi en ce moment sur vos platines ? SUPERJOINT RITUAL en boucle dans le camion, METALLICA et les dernières nouveautés. Merci aux S-CORE pour leur accueil et à Julien pour sa disponibilité !
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